Joué par :
Jëwell Joué par :
[ Information masquée ] Age : 26
Lieu de naisance : Elwynn
Signe de naissance : Aucun
Sexe : Femme
Race : Humain
Faction : Alliance
Formation : Voleur
Niveau : 41
Guilde : Songe Artisanat 1 : Dépeceur
Artisanat 2 : Ingenieur
Informations hrp : (Vous voulez jouez avec moi ? Rien de plus simple : "/w Jëwell (Bonjour, je veux RP !)" et j'accours ! NB : Je joue plutôt entre 23h et 3h. On peut aussi me trouver sur elwynn.net et j'y anime une section sans rapport avec ma guilde destinée aux personnages qui ont un RP de voleur, sans pour autant en avoir la classe.)
Ère du Conflit [10]
Lune de la Force
Décade du Panda
Décade du Gorille
Décade de l'Ours
Lune d'Agilité [1]
Décade du Tigre
Décade du Singe
Décade du Faucon [1]
La Ruelle Sombre (le concept RP et le lien)
Ecrasée entre deux hautes maisons fraîchement rebâties, piétinée par les rats qui en ont fait leur terrain de jeu et exilée, en marge des rues commerçantes, une ruelle s'apitoie sur le sort de malheureux mendiants. Certains y trouvent fortune, d'autre y voient leur destin se sceller. Mais surtout, ce qui est frappant dans cette ruelle, plus que la pente glissante et dangereuse les jours de pluie, plus que l'odeur malsaine des égouts qui la caresse, c'est que quelque soit l'heure de la journée, quelque soit l'orientation du soleil, les toits de la Cité la plonge inéluctablement dans une pénombre oppressante pour ceux qui n'ont pas appris à l'apprivoiser. Car cette rue est bien vivante ! Elle respire à vous faire sentir son souffle sur vos épaules, elle vous grignote à vous faire perdre la raison et sommeille en chacun de nous comme un désir refoulé. La ruelle sombre est le lieu de tous les possibles. A vous d'en faire le lieux de vos desseins !
[HRP]
La Ruelle Sombre est un lieu IG et sur forum pour les joueurs dont le RP correspond à celui de malfrats et de personnages louches. Toutes les infos ici :
http://www.elwynn.net/vb/forumdisplay_f=26 NB : tous les récits que vous lirez sous le profil de Jëwell sont tirés de la sombre ruelle justement. S'ils vous plaisent, venez nous voir au lien ci-dessus !
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Lune de l'Esprit [9]
Décade de la Chouette
Décade de la Baleine
Décade du Lapin [9]
[Personnage] Jëwell Maywyr
Connue dans la ruelle pour avoir été sortie de la misère par les souris, une bande de malfrats recrutant et abusant des jeunes démunis de la ville, Jëwell fut l'une des rares à être parvenue à se soustraire de leur emprise. On sait d'elle qu'elle eut quelques démêlés avec des ordres puissants de Stormwind aux sujets de papiers officiels qui n'auraient pas dû lui appartenir. On sait aussi qu'elle trempa dans des arnaques lors d'organisation de joutes et d'autres jeux promettant une récompense généreuse. Il paraît d'ailleurs qu'elle fut elle-même une adversaire redoutable lors de ses nombreuses participations aux duels aux abords de la grande cité naine. Cependant, fait notable, jamais on ne la vit s'entraîner à cet exercice Toujours par monts et par vaux, Elle ne venait jamais à la Ruelle Sombre sans dessein précis. Ceux qui la connurent disaient d'elle qu'elle était rarement bavarde et que justement, si elle l'était, ce n'était pas toujours bon signe. Puis un jour, elle disparut subitement. Puis revint. Comme d'habitude, en fait.
[Personnage] L'Oncle
L'Oncle est le receleur le plus complet de la Sombre Ruelle. Il peut vous dégoter n'importe quoi : ça dépend du temps et de l'argent que l'on est prêt à y mettre. Et quand il n'a pas ce que vous cherchez, il peut vous dire où le trouver. Bien sûr, « même les mots ont un prix » vous dira-t-il. On peut aller le voir pour acheter comme pour vendre, une simple question de référentiel pour cet ancien homme des sciences des lois de la Nature qui a su mettre à profit son talent pour les chiffres dans la tenue de sa comptabilité. Largement excédentaire dans ses activités lucratives, il est l'une des rares figures de la Ruelle tolérée par les autorités de par ses investissements constants et légaux, cette fois, dans les échoppes du quartier. Quand les commerçants le croisent, ils le saluent d'un large sourire avant de rentrer chez eux, maussades, leur journée gâchée.
[Personnage] Richard
On dit beaucoup de choses sur Richard : qu'il est sans remords, qu'il est clément, qu'il est le loup, qu'il est l'agneau. Mais ce que l'on sait, c'est qu'il est d'origine noble : un noble rejeté par ses pairs à la suite de la dernière guerre, chatié pour ses fautes, banni pour le reste de sa vie. Quand on sait ceci, on comprend alors que ce qui distingue Richard des autres bandits, c'est son langage, son érudition détournée à des fins peu louables. A la poursuite d'une reconnaissance qu'il n'a jamais gagnée, il n'hésite pas à faire démonstration de son charisme. Pourtant, il n'a pas l'étoffe d'un chevalier, ni les compétences d'un assassin, pas plus que le succès auprès des femmes. C'est de cette frustration d'ailleurs que semble venir la cause de sa perfidie. Mais écoutez plutôt la confession qu'il fit le jour de son arrivée à la ruelle sombre !
La guerre au hideux visage a déridé son front, et désormais, au lieu de monter des coursiers caparaçonnés pour effrayer les âmes des ennemis tremblants, elle gambade allégrement dans la chambre d'une femme, sous le charme lascif du luth. Mais moi qui ne suis pas formé pour ces jeux folâtres, ni pour faire les yeux doux à un miroir amoureux, moi qui suis rudement taillé et qui n'ai pas la majesté de l'amour pour me pavaner devant une nymphe aux coquettes allures, moi en qui est tronquée toute noble proportion, moi que la nature décevante a frustré de ses attraits, moi qu'elle a envoyé avant le temps dans le monde des vivants, difforme, inachevé, tout au plus à moitié fini, tellement estropié et contrefait que les chiens aboient quand je m'arrête près d'eux ! et bien, moi, dans cette molle et languissante époque de paix, je n'ai d'autre plaisir, pour passer les heures, que d'épier mon ombre au soleil et de décrire ma propre difformité. Aussi, puisque je ne puis être l'amant qui charmera ces temps beaux parleurs, je suis déterminé à être un scélérat et à être le trouble-fête de ces jours frivoles.
****
Les souris sont une bande de jeunes délinquants, des enfants affamés sortis du ruisseau pour servir les intérêts de Richard. Cela, seuls ceux qui en font partie le savent même si les grands habitués de la ruelle sombre soupçonnent Richard de rançonner ces pauvres enfants jetés trop tôt entre les mains sales d'un monde coupable. Un jour pourtant, un ivrogne avait interpellé Richard à l'entrée de la ruelle et son ébriété lui avait donné l'audace de l'interroger au sujet de ces pauvres gamins. Avant de répondre, Richard avait saisi l'homme à la mâchoire pour l'empêcher de répandre son haleine d'alcoolique :
Je ne puis rien dire. Le monde est si dégénéré, que des roitelets viennent piller là où l'aigle n'oserait percher !
[Personnage] Gilostère
"Ce vieux fou ? Ha ! Je me demande pour quelle raison vous souhaitez que je vous en parle... Attendez, on parle bien du même ?... Le vieux gnome à l'air bougon, cheveux et barbe blanc-sale, tics nerveux sur le visage ?... Moui...
"Partez d'un principe simple : ce type est détraqué ! Il n'est pas rare qu'on le voie maugréer tout seul, parler à un double invisible ou éclater d'un rire machiavélique sans raison. C'est peut-être les trucs bizarres qu'il met dans sa pipe... Il fume à longueur de journée ! Il a aussi des fioles inquiétantes, jamais vu des couleurs pareilles ! M'est avis que c'est un alchimiste dérangé qu'essaye d'inventer des trucs curieux...
"Une fois cette notion assimilée, vous pourrez sans doute l'appréhender avec le recul nécessaire... Oui, il y a des mesures à prendre si vous voulez communiquer : ce type est plus hargneux qu'un trogg, plus désagréable qu'un chien de l'enfer ! Soit il a un très mauvais fond, soit il cache très bien sa beauté intérieure ! Hah !
"Dans la Ruelle ?... Boh il y vient par périodes... Il peut très bien ne pas apparaître pendant des semaines, puis venir quelques jours s'installer ici... Ce qu'il y fait ? Ben, il complote dans son coin, surtout. Il a parfois des renseignements intéressants - quand ce ne sont pas des absurdités -, puis il achète à prix correct aussi. Je crois qu'il avait monté un petit groupe de types un peu dans son genre, mais ça n'a pas marché...
"Je sais pas trop ce que vous voulez à ce type, mais bon courage en tous cas !"
[Personnage] Sonate Sumbre
Bien qu'il soit difficile de donner un age précis aux elfes de la nuit, il est évident que le Capitaine de l'équipage de La Maraude est jeune.
Il a suivi un temps les preceptes d'un ordre discret comme espion et assassin, puis les a quitté par amour de la mer afin de fonder son équipage corsaire.
Il est impulsif mais patient, calculateur s'il le faut pour obtenir ce qu'il veut.
Ses passions sont les Femmes, la Mer, le Rhum et l'Or, dans cet ordre et pas un autre. Pour les Femmes il a trouvé son trésor, il passe autant de temps qu'il le peut proche de la Mer, pour le Rhum il se sert sur les pirates qu'il araisone, par contre l'Or lui file entre les doigts tant il est épris de mode, l'élégance de ses tenues n'ayant d'égal que l'argent qu'il y jette par les écoutilles.
Extrèmement apprécié des authorités de Stormwind grace à la quantité astronomique d'étoffes qu'il leur à livré en accord avec sa Lettre de Course, il a adopté la rapière, arme des gentilhommes, qu'il manie avec panache et précision de maître.
Il ne cache rien de ses activités, plus encore, il est fier d'être corsaire de l'Alliance et rien ne saurais le distraire de veiller sur son équipage écumant la flibuste et les défias.
Il cherche le profit pour son équipage et en cela est toujours ouvert aux propositions disons "commerciales", les butins n'étant pas toujours faciles à écouler...
[Personnage] Hyacinthe
On raconte que Hyacinthe fut un jour un charmant jeune homme d'excellente réputation, mais que pour une raison qui conduit à de nombreuses polémiques il aurait "basculé" vers un mode de vie plus souterrain. Il garde encore quelques stigmates de sa beauté passée, comme la forme harmonieuse de son visage, un regard bleu glace qui ferait tomber les demoiselles sous le charme (si seulement des demoiselles venaient à la Laverie, ce qui n'est pas tout à fait encouragé). Du reste, sa face est burinée et il s'est arrangé pour avoir au maximum la gueule du métier.
Hyacinthe est sympathique mais tâtillon sur les quelques règles qu'il impose au sein de son établissement. C'est un commerçant de génie qui a beaucoup voyagé et forgé des contacts solides avec des fournisseurs plus que douteux, avant de s'enfermer dans sa gigantesque cave. Voilà plusieurs années qu'il travaille sans s'arrêter dans la Laverie, plusieurs années que ça marche à merveille.
La meilleure chose qu'il ait faite ? Trouver Sotelle et l'engager.
[Lieu] Le Vieux Théatre.
Quand un voyageur rentre à Stormwind, il est d'abord frappé par le riche accueil des vitrines exubérantes du quartier des commerçants. Pris à la gorge par des odeurs vigoureuses des meilleurs fromages de la cité, il s'enfonce alors involontairement dans le quartier et découvre une charmante place à l'ombre d'une arbre centenaire. Les rondes des gardes participent à le rassurer sur les affaires paisibles qui se déroulent au soleil des longues journées d'été. Cependant, un établissement détonne avec les autres échoppes.
Un carreau brisé, une porte délabrée, des tuiles emportées par la violente tempête de l'hiver, une enseigne pâlissante sous le regard jovial du soleil, des peintures écaillées et une affiche illisible placardée de l'intérieur. Telle est la tenue du Vieux Théâtre désormais. Jadis, lors de la reconstruction de la capitale, ce haut lieu de Stormwind abritait les meilleures réjouissances des terres de l'Est. Musiciens, danseurs et conteurs y avaient élu domicile pour le plus grand plaisir des habitants en quête de divertissement. Suite à un changement de propriétaire, la clientèle s'interressa ensuite à des réjouissances plus à même de faire oublier à l'armée du roi la dure réalité des combats dans les lointaines terres du nord contre le Fléau : femmes de joies et canailles firent du Vieux Théâtre la plaque tournante des trafics les moins louables de la ville. Mais en ce temps là, le roi eut encore le charisme nécessaire à faire cesser les inavouables crimes auxquels se livraient les paladins les moins pieux de son armée. Envoyant jusqu'à ses forces militaires, le roi découragea finalement les avides trafiquants de racheter le Vieux Théâtre aux mains de leurs prédécesseurs régulièrement jetés en prison.
Ainsi, le Vieux Théâtre, symbole désuet d'un temps révolu où les canailles pouvaient se livrer impunément à leurs crimes, tombait en décrépitude sous les regards indifférents des marchands du quartier.
Richard avait accroché un bas-relief depuis années à un endroit privilégié du mur du Vieux Théâtre, par ailleurs couvert en grande partie de rayons de bouteilles vides, à la fois sous un angle d'éclairage judicieux et à une place que, fût-ce un court moment, le soleil couchant atteignait chaque soir. C'était, à peu près au tiers de la grandeur nature, le portrait en pied d'un être féminin saisi en train de marcher, encore jeune, déjà sorti de l'enfance mais qui toutefois n'était manifestement pas une femme : plutôt une virgo des temps gracieux de Lordaeron. Elle ne rappelait en rien les multiples bas-reliefs de Vénusys, de Dianaëlle ou des autres légendes d'Azeroth, sans représenter pour autant une Psychépharia ou une Nymphaë (figures des mythes de Lordaeron). Il y avait en elle, soit dit sans mauvaise part, quelque chose de l'humanité de tous les jours, un air presque « quotidien » dans l'apparence physique, comme si, là où de nos jours nous crayonnons une esquisse sur une feuille de papier, l'artiste l'avait en pleine rue prise sur le vif au passage et fixée à toute allure dans une ébauche de terre glaise. Elle paraissait grande et svelte ; ses cheveux en légères ondulations étaient quasi entièrement recouverts d'un fichu à plis ; le visage un peu allongé ne comportait rien de propre à éblouir, mais il était indéniablement fort éloigné de chercher à produire un tel effet ; dans la finesse des traits s'exprimait une sereine indifférence à l'égard de ce qui se passait autour, l'il dirigé tranquillement droit devant lui révélait en même temps une réelle aptitude à bien voir les choses et un paisible repliement sur ses pensées. Aussi n'était-ce pas par la beauté plastique des formes que la jeune femme séduisait : elle possédait quelque chose qu'on ne rencontre pas souvent dans les statues, une grâce naturelle et simple de jeune fille, d'où venait cette impression qu'elle débordait de vie. Cela devait provenir surtout du mouvement dans lequel elle était représentée. La tête légèrement penchée en avant, elle tenait un peu remontée de la main gauche la robe dont les extraordinaires petits plis ruisselaient sur elle depuis la nuque jusqu'aux chevilles, en sorte qu'on apercevait ses pieds chaussés de sandales. Le gauche était déjà avancé et le droit, se disposant à le suivre, ne touchait plus guère le sol que de la pointe des orteils tandis que la plante et le talon se dressaient presque à la verticale. Ce mouvement suscitait une double impression : l'aisance légère de la femme qui marche d'un pas vif, et parallèlement l'air assuré que donne un esprit au repos. Sa grâce particulière, elle la tirait de cette façon de planer au-dessus du sol tout en le foulant avec fermeté.
[HRP] Le Vieux Théâtre est un lieu de la place des commerçants, comme la Ruelle Sombre. C'est une sorte de magasin vide de PNJ de suite à droite après avoir descendu la ruelle. Il y a une sorte d'estrade à l'intérieur. [/HRP]
[Lieu] La Laverie.
La trappe semblait avoir été déposée au hasard entre deux vieilles bâtisses, deux épaisses planches de bois aux charnières délabrées et branlantes. Cette bouche malsaine ouvrait sur les sous-sols de la Ruelle, par l'intermédiaire d'un escalier raide comme une falaise et grinçant généreusement. On pouvait alors humer les effluves âcres et chaudes, entrevoir les éclairages vacillants et entendre les grognements, exclamations et autres protestations du peuple souterrain qui avait investi la Laverie.
Loqueteux, poivrots et hommes masqués (sans doute des individus plus aisés qui ne souhaitaient pas qu'on les reconnaissent) se brassaient dans cette grande pièce au plafond bas. L'ambiance chaotique piquait les yeux du non-initié, le mouvement était constant, les bousculades monnaie courante et fréquemment accompagnées d'une substantielle politesse (comme un cordial "T'peux pas r'garder où tu marches ? Tocard !").
Dans un coin ronronnait un générateur gnome, laissant échapper quelques crépitements inquiétants. L'électricité alimentait l'éclairage dodelinant et le sinistre "chauffage du fond" (une sorte de fournaise abritant des pales tranchantes comme le rasoir) que plus personne n'approchait. La lumière collait aux murs humides et sombres, faisant ressortir le relief des pierres saillantes et suintantes. Un coin de mur semble plus récent que les autres, on raconte qu'il y a trois ans la proximité du canal a causé des dégâts... et qu'il avait fallu réparer, bien sûr.
Deux lieux distincts, dans la Laverie : le Comptoir et le Marché.
Le Comptoir était effectivement un comptoir comme on trouve dans les tavernes, à ce détail près qu'il était beaucoup plus long. Le Comptoir abritait Hyacinthe, le patron de la Laverie, un homme suffisamment prodigieux pour servir tous ses clients à une vitesse incroyable, pour garder en tête ardoises et commandes... On servait au Comptoir exclusivement de l'alcool de contrebande, pas "c'te piss' eud'Goretusk qu'on trouv' dans les salons d'thé d'en haut !", ça non... Alcool pirate, alchimie gnome et mélanges gobelins directement importés de la Baie du Butin n'étaient qu'une infime partie des breuvages douteux que servait fièrement l'hôte de ces lieux.
Le Marché était une sorte de grande rotonde au centre de laquelle se jouait le hasard. Du bonneteau, Sotelle était passé aux cartes, puis à des combats d'animaux en tous genres. Il était finalement revenu aux dés classiques, et nul n'a jamais osé soutenir que son matériel était truqué... Le Maître des Jeux se tenait au centre approximatif d'un cercle remuant de joueurs qui misaient, perdaient et gagnaient (mais perdaient surtout). Lui aussi avait cet espèce de "don" qui lui permettait de garder en mémoire les mises de chacun et d'attraper les petits malins qui pensaient pouvoir duper sa vigilance.
L'activité ne cessait jamais dans cet endroit qui semblait oublié par le temps, autant les clients entraient et sortaient discrètement, autant les deux tenanciers semblaient ne jamais dormir. Le cycle du jour et de la nuit n'avait aucune incidence sur l'activité de la Laverie, qui semblait de toute manière ne pas s'en soucier...
[Organisation] La Garde de Stormwind
La garde de Stormwind est composée d'homme et de femme volontaires, engagés au départ sur la base de leur motivation à défendre la cité.
Placée sous le commandement du généralissime et dirigée par les capitaine Elvith et Norghaal, elle semble avoir quelques soucis à maintenir l'ordre à cause de troubles fromentés par des groupuscules anarchistes.
Patrouillant régulièrement la cité, elle maintient une présence dissuasive qui protège l'illusoire sécurité des citoyens. La garde emploie de vieux briscarts dont certains étaient là avant même l'arrivée des capitaines. Ceux-la connaissent leur métier et parfois le moyen d'en tirer un profit raisonnable...
Mais l'arrivée du capitaine Elvith et la nommination du capitaine Norghaal, donnant un coup de fouet aux effectifs, a aussi rendu les soldats plus prudents sur les débordements de leur pouvoir et les détournements de celui-ci... Ce qui est plus risqué est donc plus cher.
La garde de la cité évite la plupart du temps la ruelle sombre et ce à la condition que les affaires de celle-ci n'attire pas l'attention, que cela ne déborde pas. Il est notable que la garde y fait une ronde régulière (mais peu fréquente) en nombre suffisant pour dissuader quelques éventuels soucis.